Voici la quatrième de couverture :
Göteborg, deuxième ville de Suède logée entre terre, mer et montagne, dont le seul nom chante la magie du Grand Nord... Ce décor idyllique s'effrite sous la plume d'Ake Edwardson. Par le prisme de l'enquête policière, ici restituée dans ses moindres hésitations, doutes et tracasseries administratives, l'auteur autopsie les affres d'une âme nordique en proie aux pires maux des sociétés contemporaines.
Erik Winter est le témoin privilégié de cette déliquescence. Dandy un brin désabusé et sans illusions quant aux chances véritables de la justice, le plus jeune commissaire de la police suédoise va se montrer très rigoureux lorsqu'une série de meurtres barbares endeuille sa ville natale.
Je fus déçue au plus au point par ce roman. Depuis un certain temps, les romans provenant d'auteurs du nord de l'Europe m'avaient beaucoup séduits, que ce soit du côté de la Suède, de la Norvège, du Danemark ou de l'Islande... Une ambiance particulière y régnait, peut-être due au froid de leurs longs hivers, on y retrouvait des personnages imprégnés d'un lourd passé différent de celui des français, toute cette culture m'a beaucoup apporté. Mais alors, là, quelle déception ! Mis à part le fait que le roman est d'une platitude ennuyeuse, la traduction est absolument nulle (Anna Gibson) ! Je n'ai jamais trouvé un bouquin aussi mal traduit ! Chaque réponse est souvent traduite par "oui" ou par "non" sans aucune nuance. Cela ne veut rien dire, on ne comprend pas le sens des propos, les échanges s'en trouvent complètement modifiés, on s'y perd. On décroche, on se lasse, on attend vainement une chute ! C'est un roman inutile. Je ne sais même pas si je tenterai une autre œuvre de ce même auteur ! Et pourtant, l'idée des meurtres commis était intéressante. Elle aurait pu être exploitée d'une manière tellement différente ! 3/10 ★
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